Il faut identifier son existence et son rôle dans l’organisation du travail.
Puis l’amener à débattre des critères subjectifs de la qualité du travail pour en faire des actions objectives de transformation de l’organisation du travail, pour développer le travail collectif et les marges de manœuvre de chacun.
Parce que dans le travail comme dans la vie, nous sommes des êtres sociaux, pensants et émotionnels. Nous faisons partie d’un système dans lequel nous interagissons avec d’autres êtres sociaux.
Nous partageons parfois les mêmes valeurs, et même si nous avons une approche subjective de la façon de faire le travail, nous partageons la même histoire du métier, la même histoire de l’entreprise, la même expérience des réussites et des échecs.
Un collectif de travail est une ressource vitale pour le développement du travail et de l’individu, surtout en cas de coups durs.